Cette présentation de Rodrigo Costas Comesaña du CWTS (Centre de Recherche IST) de l’université de Leiden (Pays-Bas) fait un bilan des premières expériences dans le domaine de l’Altmetrics. Cette métrique alternative se situe bien dans le contexte de la thématique Nouvelles formes de communication et d’évaluation scientifiques analysée lors de la 5è Journée nationale d’Étude du Réseau des URFIST à Nice, le 25 septembre 2014 (http://urfistjne2014.wordpress.com/).

Le CWTS est mondialement connu pour son ingénierie mise au service des processus bibliométriques (Web of Science, Scopus, U-Multirank et bien sûr Leiden Ranking).  Ici, R. Costas quitte délibérément le champ de la bibliométrie classique, dont il est évidemment spécialiste, pour celui de l’alternative Altmetrics qui fait reposer la quantification sur les réseaux sociaux et l’observation des sites et réservoirs de la communication scientifique. Évaluation qualitative et caractérisation s’en trouvent de ce fait considérablement modifiées sur le plan méthodologique. Alors, une opportunité ou un risque ?