• Repères : contexte, état des lieux des usages, enjeux pédagogiques dans l'ESR
  • Utilisations possibles de l'IA générative pour le formateur
  • Travaux pratiques et analyse de cas d'usages pédagogiques et de ressources pour la formation des usagers de l'ESR (ex.
• Éléments de repères : contexte, principes, usages dans l’écosystème académique ;
• État des lieux des principaux réseaux sociaux et de leurs usages académiques en 2024 (ex. : LinkedIn, ResearchGate, Academia, Twitter / X, Facebook, YouTube) ;
• Accéder à l'information, diffuser du contenu, s'exprimer comme chercheur : multiplication des outils, multiplicité de la responsabilité académique ? ;
• Parole individuelle, parole institutionnelle : éléments de réflexion pour une présence en ligne intègre

 

  • contexte de l'intelligence artificielle
  • principes de fonctionnement des intelligences artificielles génératives
  • moteurs de recherche IA et recherche d’informations académiques (ChatGPT, Bing, Perplexity, etc.)
  • outils de recension bibliographique (Elicit, SciSpace, Consensus, etc.)
  • outils d’analyse (Scite, ResearchRabbit, etc.)
  • d’autres outils d’assistance encore
  • intérêts et limites de ces outils dans la recherche de littérature académique

Cette formation est une formation généraliste, ne nécessitant pas de compétence technique

  • le contexte actuel de la recherche d’informations : évolutions des moteurs de recherche, robots conversationnels et intelligence artificielle
  • principes de fonctionnement des intelligences artificielles génératives
  • le cas ChatGPT
  • impact de l’IA sur les moteurs de recherche classiques (Bing, Google, etc.)
  • autres exemples de moteurs de recherche IA textuelles et multimédias (Perplexity, Claude, Mistral, etc.)
  • l’art du prompt
  • intérêts et limites de ces outils dans la recherche d’information
  • bibliographie 
Cette formation

Claire Tignolet

Fonctions

  • Co-responsable de l'URFIST depuis avril 2022
    • Formatrice
    • Coordinatrice administrative de l'URFIST (en alternance tous les deux ans).
 

Domaines de compétences

Comment évaluer au mieux cet ensemble disciplinaire pour le moins hétérogène, en tenant compte de ses spécificités épistémologiques, méthodologiques et éditoriales ? Dans quelle mesure peut-on utiliser les mêmes sources de données et les mêmes indicateurs que pour les sciences de la vie et de la matière ? Quelles alternatives ont pu être proposées en France et en Europe ? En quoi la science ouverte peut-elle contribuer à changer la donne ?

Depuis son « invention » dans les années 1960, la bibliométrie a suscité de nombreux débats, au sein de la communauté scientifique mais aussi parmi les décideurs politiques, les financeurs de la recherche, et même le grand public. En cause : son association quasi-systématique avec la notion d’évaluation de la recherche, dont les principes n’ont cessé d’évoluer depuis ces dernières décennies.

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