La diffusion de ses travaux est au cœur de la démarche scientifique. Mais, à l’heure des réseaux sociaux et d’une concurrence accrue entre chercheurs, la visibilité du doctorant lui-même devient de plus en plus une nécessité. Comment dès lors concilier visibilité de son profil, diffusion de ses publications, expertise issue du travail de thèse et développement d’un projet professionnel ?
On estime généralement que 80% de l'information scientifique et technique mondiale peut être retrouvée dans les documents brevets, et que pour 40% de cette information, les brevets sont la seule source disponible. Aussi est-il fondamental, quand on s'intéresse à une thématique touchant de près ou de loin aux sciences appliquées, de compléter ses recherches dans des bases de données documentaires classiques par l'interrogation de bases de données brevets.
La liste des liens disponible ci-dessous vise à accompagner la formation "Brevets et Propriété industrielle" proposée par l'URFIST de Paris. Elle permet aux participants d'avoir sous les yeux des renseignements complémentaires au support utilisé lors de l'exposé, et de retrouver le détail des informations mentionnées.
L’Observatoire des Sciences et Techniques (OST) de l’Hcéres, qui fournit régulièrement aux établissements de recherche des « Éléments de publications de SHS dans la base Web of Science », ne manque jamais d’indiquer dans un avertissement introductif à ces éléments que « pour les établissements dont la production relève presque exclusivement de ces disciplines », les données présentées « ne doivent en aucun cas être interprétées comme représentant la production de l’établissement ». Malgré cela, la dimension quantitative représente une part importante dans le système actuel d’évaluation de la recherche en France, y compris pour les sciences humaines et sociales…
Bibliométrie, scientométrie, infométrie, webométrie… Tous ces termes ont un suffixe commun, qui renvoie à l’idée d’une mesure, d’une quantité, d’un dénombrement, associée ou appliquée à la recherche scientifique. Mais que cherche-t-on à dénombrer au juste ? Et surtout, dans quel(s) but(s) ?
Un Plan de Gestion des Données (PGD, aussi appelé DMP pour Data Management Plan), est un document plus ou moins formalisé qui décrit la façon dont les données liées à un projet de recherche vont être utilisées et manipulées en amont, pendant et à l’issue du projet.
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