Comment évaluer au mieux cet ensemble disciplinaire pour le moins hétérogène, en tenant compte de ses spécificités épistémologiques, méthodologiques et éditoriales ? Dans quelle mesure peut-on utiliser les mêmes sources de données et les mêmes indicateurs que pour les sciences de la vie et de la matière ? Quelles alternatives ont pu être proposées en France et en Europe ? En quoi la science ouverte peut-elle contribuer à changer la donne ?